Une 2ème rencontre ... ! [Pv]

Follement amoureuse de lui ? Non c’était invraisemblable, comment pouvais-je être éperdument amoureuse d’un vampire, un vampire que je n’avais rencontré qu’une fois dans toute ma vie ? Je ne connaissais peut-être rien à l’amour, mais je savais qu’il était impossible d’aimer quelqu’un au premier instant ! Mise à part les coud de foudre, qui pour moi n’était que des histoires pour faire rêver les petits filles aux princes charmants, aux fameux coud de foudre, tout ceci ne signifiait que de simple foutaise sans importance à mes yeux ! Je n’y avais jamais crus et n’y croirais sans doute jamais ! Je soupirai doucement, refusant de croire ce que s’entêtais de me dire Lackee et cette conscience anonyme. J’étais têtu comme une mule et personne ne me faisait changer d’avis, j’étais la seule et l’unique à pouvoir réviser mes décisions depuis toujours c’étais ainsi et ce n’était sûrement pas aujourd’hui que sa changerait ! Je n’étais pas amoureuse de ce chef que j’avais eu le malheur de rencontré deux semaines plutôt, non … trop de chose nous séparait, puis nous n’avions que passer un court instant ensemble avant que Chrystal n’arrive et depuis ce jour je ne l’avais point vue se qui était en sois bien.

* - Je ne suis pas amoureuse de ce vampire, qui n’est qu’un inconnu à mes yeux ! Mise à part son nom et son titre que sais-je de lui ? Absolument rien alors arrêter, vous deux avec ça ! Je ne l’aime pas point finale ! Puis à la place de dire que des conneries fausses tu pourrais au moins me donner ton nom, hein ? *

Puis alors que je venais juste de communiquer ma phrase a cette personne mystérieuse, je vis un genou se poser sur le sol, juste devant moi et par la suite une main froide très froide, mais terriblement douce vient saisir mon menton pour me relever la tête. Je ne résistais pas, de toute façon j’avais vraiment envie de voir qui étais-ce ! Une fois la tête levé je pus constater qu’il s’agissait de … Dylhan ! J’étais tellement surprise de le voir la, devant moi genou à terre et si près de moi que je me figeai, le regardant dans les yeux ne pouvant me défaire de ses prunelles si belles. Étrangement, j’avais oublié à quel point il était séduisant et beau, c’était comme ci il m’envoutait, je n’arrivais pas à croire que j’avais plus oublié une telle beauté, pourtant je le jure elle ne pouvait en aucun cas paraître anodine ! Puis doucement il commençait à me parler, me dire qu’il comprenait que je sois surprise, mais qu’il devait me parler, que j’étais belle et que sans l’ombre d’un doute mon parfum ne le laissait pas indifférent. Comme une parfaite idiote, je restai la à le regarder sans savoir quoi dire ! Mais que pouvais-je dire après tout ceci ? Je le fixai toujours dans les yeux, le laissant me caresser ma main avec ses doigts agile et si doux qu’il me faisait frissonner.

- M … merci … enfin … pour le jolie … Lui dis-je avec une voix basse et quelque peux perdu.

Je ne savais vraiment pas quoi faire ou dire, il était la devant moi à me caresser la main, me regarder avec un regard qui me faisait frissonner et me disait des choses magnifiques, mais se qui me bouche-bai le plus dans tout ça c’est qu’il paraissait sincère, vraiment très sincère, mais pouvais-je lui faire confiance ? Et le croire … ? Pourtant il avait être mon ennemi, j’avais beau me dire qu’il me manipulait peut-être je ne pouvais que croire en la vérité de ces paroles, il était impossible de jouer ainsi la comédie, non ?

- Me … parler ? Finit-je par articuler voyant bien qu’il attendait une réaction de ma part.

Je finis par jeter un regard autour, me décrochant avec tristesse de son regard si beau, si tout à la fois ! Je voyais bien que des regards curieux se posaient sur nous ce qui était normale après tout, un homme à genou caressant la main d’une jeune femme ne faisait pas très discret, je pouvais même voire certaine femme me regarder comme si elles voudraient être à ma place, franchement pour penser ceci elle ne connaissait pas ma situation, pour tout dire … je ne savais tellement pas comment agir que je préférais sans fois affronter un sang-froid que d’être ici, complètement dépasser par les évènements !

- Pour une fois sois dont utile et dit moi comment agir, sale fausse conscience qui vos rien ! * M’adressais-je à ma " conscience. "

Cela faisait sûrement deux ou peut-être trois minutes qu’il était apparus et il semblait toujours attendre de moi une réaction plus élever qu’un simple merci et un " me …. Parler ? " Je regardai encore une fois les alentours, malgré son regard qui se faisait instant j’avais plus en déduire que rester ici, avec lui qui me caressait la main, en plein public n’était pas une bonne chose, qui sait n’importe qui pourrait me reconnaître et en faire part à Chrystal qui cette fois me secréterais à jamais dans une pièce ! Alors, prenant mon courage à deux mains, je me relevai se qu’il fit à sont tour, il me tenait toujours la main se qui étrangement me rassurait mais me faisait peur à la fois !

- On doit … un endroit discret ! Lui dis-je en me perdant moi-même dans ma phrase, encore un peu confuse de cette situation !

Ainsi, je pris les devant, lui tenait toujours ma main et me suivait tranquillement sans rien rajouter. Je traversai la foule sans un percuter un ce qui fut aussi sont cas grâce a son agilité supérieur à la mienne ! En moins de quelque seconde je repérais une petite ruelle ou que le soleil ne réussissait pas à passer, il n’y avait personne sûrement à cause qu’elle était très étroite ! Elle faisait peut-être 1m, 1m et demi grand max, ce qui était parfait pour se camoufler des regards indiscret et se parler tranquillement. Je m’engouffrais à l’intérieur, toujours suivit par lui qui refusait de me lâcher la main décidément. Lorsque je conclus qu’on était assez loin de toute personne, je m’arrêtais doucement, me revirant enfin, levant la tête puisqu’il faisait minimum une tête de plus que moi et le fixait dans les yeux, puis soudainement je regrettais un peu d’avoir choisies cette ruelle puisque décidément, elle était étroite de largeur ce qui nous forçait à être proche l’un de l’autre. Pour mettre un peu de distance entre nous, je me reculais le plus possible, jusqu’à se que je cogne le mur délicatement. Je m’aperçu alors que sa n’avait presque pas fait de différence, mais bon … c’était déjà sa !

- Vous … vouliez me parler … ? Finis-je d’une voix timide, laissant tomber son regard pour le sol qui lui ne me rendait pas gênée !

**Doucement j’ouvris les yeux, il me fallut quelque minute avant que ma vue soit potable. Et la première chose que je vis est un plafond, le plafond de ma chambre qui m’était réservé au château ! J’étais un peu dans les vapes encore, perdu aussi. D’après mes derniers souvenirs avant se grand trou noir j’étais dans une ruelle avec lui … je me suis sentis mal et après je me souviens de plus rien. Étais-je tombé dans les pommes ? Surement, se qui ne m’étonnais pas vraiment ! Je me relevai rapidement, un peu trop rapidement sans doute puisque j’eue des vertiges, je m’accrochais au mur pour ne pas tomber. Je respirai un bon cout, plusieurs enfaite, avant de porter un regard global sur la pièce, personne n’y était sauf moi. Je ne doutais pas de celui qui m’avait porté jusqu’ici, puisque juste avant j’étais avec ce vampire ! Il était parti ? Avait-il décidé de suivre ma volonté ? Sans doute, vu qu’il n’était pas la … c’était supposer être bonne chose, non ? Alors pourquoi je ressentais un vide, une tristesse grandissante en moi … ! Je secouai la tête pour ne pas penser à sa, je ne devais plus penser à lui ! Je m’avançai d’un pas et d’un autre ce que je n’aurais pas dut faire puisque je n’avais toujours rien avalé depuis je ne sais combien d’heures et que finalement ma perte de conscience ne m’avait en rien reposé, après tout je ne m’avais pas vraiment endormie … ! Croyant quand marchant cette étourdissement partirais, je me mis à avancer de quelque pas et finalement je perdis l’équilibre, mon corps me faisait clairement savoir qu’il n’était pas en état de marche ! Puis en perdant l’équilibre je heurtai le grand miroir de ma chambre, le réduisant en néant et du coup me blessa à la main, une blessure plutôt importante.

- AAHHHHH ! Criais-je assez fort, lorsque je sentis pour de bon le bout de vitre qui s’était enfoncé un peu profondément dans ma main. Je me retenus de crier toute ma souffrance pour ne pas alerter quelqu’un … j’aurais l’air bien folle si quelqu’un me découvrait ainsi !

J’essayai temps bien que mal de reprendre une respiration normale, en vain, j’enfonçais mes ongles de ma main non blessé dans le parquet et je serrais les dents. Il me fallut quelque autres secondes avant de lever ma main et de regarder les dégâts. Sa faisait mal, oh que oui ! C’était comme une sorte de brulure qui ne s’arrêtais pas, c’était atroce comme douleur ! J’aurais aimé encore mieux affronter une saleté de vampire qu’en endurer cette douleur des plus atroces. Je me mordis la lèvre parce que je savais ce que je devais faire pour me soigner et que cela allait être encore plus douloureux ! C’est ainsi que je me levai avec une difficulté essayant de ne pas bouger ma main de gauche, je m’approchai d’une de mes armoires qui peuplait ma chambre et l’ouvris brutalement avec quelque peux de difficulté, il y avait des dizaines de bouteilles d’alcool tous plus fort un que les autres j’en saisie une la plus forte de tous. Refermant l’armoire et me laissant glisser part terre sur la porte de mon armoire. J’enlevais le bouchon de ma bouteille avec ma bouche le recrachant plus loin, déposant la bouteille à coter de moi, enlevant ma ceinture et la mis dans ma bouche pour ne pas me mordre la langue. Et j’enlevai le bout de vitre le plus vite possible en étouffant un cri de douleur, je cognai ma tête contre l’armoire, essayant de faire passer la douleur, je donnais des petits coups de pieds par terre et mordait à pleine dent dans ma ceinture ! Il passait peut-être dix minutes avant que je sois apte à continuer mon traitement. Je repris ma bouteille d’alcool j’en engloutis environ la moitié histoire de m’engourdir les sens, avant de reprendre ma ceinture de la remettre dans ma bouche et de verser un peu d’alcool sur ma main pour désinfecter ma blessure. Encore une fois la douleur fut abominable, j’avais l’littéralement l’impression que j’avais foutue ma main dans un feu ! Ma respiration était saccader, j’avais surement une ou deux petites larmes qui coulait le long de ma joue à cause de la souffrance ! Après quelque minute je saisie une petite boite qui contait les trucs pour n’importe qu’elle blessure. J’en sorties une aiguille et du fil. Je buvais le reste de la bouteille d’alcool, Pris l’aiguille, la mis dans ma bouche et essaya temps bien que mal d’enfiler le fil dans le petit trou ! Il me fallut surement une dizaine de minutes avant de réussir mon coup ! Ensuite, je repris pour une troisième fois ma ceinture qui avait à deux places mes traces de dents et la mis dans ma bouche, et j’approchais l’aiguille de ma main ouverte profondément et j’entrepris de la coudre. À chaque fois que je transperçais ma peau de l’aiguille c’était terrible ! J’en souhaitais presque de mourir. Il ne fallait pas oublier que je n’étais pas endormie rien, j’avais juste un peu l’effet de l’alcool dans mon sangs ! Une chance, je ne me voyais pas effectuer cette opération sans rien pour m’engourdir les sens ! Je pris aux moins 2-3 minutes à chaque transperçassions avant de recommencer, pour me donner le temps de décompresser ! Au bout d’une quinzaine de minute j’avais finis et refermer ma blessure. Je coupai le fil habillement. Je poussai un soupire de soulagement, c’était finit … en fin ! Ma main me brulait toujours, mais sa n’allait qu’aller que mieux maintenant ! Je me relevai, faisait une extrême attention pour garder ma main opérer nouvellement contre ma poitrine ! Une fois lever, ce n’est que la que je pus apercevoir le sang que j’avais perdu, les morceaux de miroirs était rependu dans ma marre de sang. La c’était sur, j’allais devoir me reposer après avoir nettoyé sa ! N’ayant rien sur la main pour nettoyer, je pris une de mes couvertures de draps et j’épongeai le sang avec … au bout de quelque minute j’avais utilisé mes 4 draps, ne pouvant les laver ou les récupérer un jour je les jetai par ma fenêtre. J’allais devoir en trouver d’autre. Mais cela ne m’inquiétais pas pour le moment ! En soupirant de douleur, je m’assis sur mon lit ramenant avec moi une bouteille que je déposais à coter de moi. Tournant la tête vers mon oreiller j’enlevais le petit tissus qui le protégeait et l’enroula autour de ma main blesser pour éviter tout accrochage avec quelque chose ! Par la suite, je me couchais sur le dos et laissait mon regard vaguer, jusqu’à se que je vois une rose sur la table de chevet juste à coter de mon lit. Je saisi le mot juste à coter.

* Je ne pars pas pour très longtemps si tu as besoin de moi siffle dans le sifflet à coter de la rose. Je suis simplement partit te chercher quelque chose à manger. *

Inconsciemment je souris, contente de savoir qu’il allait revenir. Je sentais mes joues rougir et mon cœur accélérer ! J’avais beau tenter de me dire que je ne devais pas être heureuse, que lorsqu’il serait revenue mettre les points sur les I et lui dire qu’on ne devait pas être ensemble j’étais incapable de cacher ma joie. Je souriais comme une folle furieuse au papier que je tenais fermement. Je n’espérais qu’une chose à ce moment, c’est qu’il revienne sur le champ ! Mais alors que j’étais perdu dans mes pensées a l’eau de rose, je ressentis ma main me bruler, je saisis sans réfléchir ma nouvelle bouteille et commençant en à boire, jusqu’à arriver à la moitié. Je remis la bouteille sans délicatesse sur ma table de chevet et me mis à rire toute seule sans raison, les effets de tout l’alcool que j’avais ingurgité surement !

- Hihi, tu va revenir bientôt ! HEIN ! Me dis-je à moi-même ou peut-être parlais-je au papier qui sait ? Je riais, comme une petite enfant. Tutututu, 1 moutons, 2 mouzons, 3 mouzons …. Gniaaaa ze suit reeeendu à combieeeen ? Me questionnais-je avant de partir dans un fou rire. 8 moutons ? Oui, on va dire, hihihi ! Alooooors hum … 15 moutoooons, 17 mouzons, 18 moutons, 20 mouzons ! Rooh … mais c’est long … moi ze suis rendu à 20 mouzons ! Dis-je en comptant les secondes qui s’écoulaient, n’ayant rien de mieux à faire en l’attendant. Je mis mes deux mains en l’air et vit que mon bandage avait une tâche de sang, sans trop d’importance. Je me remis à rire laissant tomber mes mains sur moi, en faisant toute fois attention à celle blesser. Hihihih … ta vus sa Lack ? Ya du saaanng ! Hihihihih ! M’adressais-je à mon démon qui n’avait pas bougé depuis le début, il semblait dormir … se que j’aurais dut faire ! Mais je n’arrivais pas à dormir, trop excitée à cause de l’alcool ! Ououuhh, mon Lackee IL DOOOORT HEUUU ! Alors z’moi ze vais me zemettre à connmpter ! 21 moutoonz, 22 moutons, 24 mouzoons. Et ainsi je me remis à compter entendant que mon vampire revienne
!